PRESENTATION
Depuis 5 albums, André Manoukian s'inspire de la musique arménienne comme d'une source inépuisable, dont les couleurs se mêlent parfaitement au jazz modal.
Son piano devient sa mémoire intime, son héritage culturel, une langue de tendresse.
Entre Orient et Occident, ses compositions sont soutenues par le phrasé spectaculaire des tablas indiens de Mosin Kawa, la contrebasse puissante de Gilles Coquard, le cajon d'Anissa Nehar, les violons somptueux de l'Orchestre Appassionato dirigé par Mathieu Herzog, arrangé par lui-même et Simon Cochard.
Un horizon sans frontières, des arabesques levantines comme autant de routes initiatiques, de labyrinthes qui semblent épouser les plis et replis de nos mémoires.
Enfin la voix d'Arpi Alto, diva arménienne, nous délivre deux berceuses poignantes.